introductions d'articles

phrases introductives d'articles de 2021 à 2014

Vous pouvez vous procurer les Bulletins Annuels des Amis des Monuments Rouennais,
et leurs Tables Analytiques de 1886 à 1996, en téléchargeant et remplissant un bon de commande : Commande Bulletins

Les Tables Analytiques postérieures à 1996 sont consultables sur ce site



L'architecture depuis la Seconde Guerre mondiale

exemples dans la métropole rouennaise

banane• Cette conférence vise, à travers des exemples non exhaustifs, à montrer la diversité architecturale et son évolution stylistique dans la Métropole rouennaise. Elle n'a pas la prétentionde faire découvrir des constructions inconnues mais davantage d'attirer l'œil et d'avoir un regard nouveau…

• Construire n'est pas une chose anodine. Une construction est une architecture pérenne en ce sens qu'elle est censée tenir debout pour des décennies. L'erreur n'est pas permise. Certaines architectures sont acceptées et plébiscitées dès leur construction, d'autres sont décriées puis acceptées. D'autres encore ne trouvent jamais leur place …

J.V.

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Une place aux vies multiples

la place des Chartreux

chartreux1• Située à cheval sur les communes de Rouen et du Petit-Quevilly, la place des Chartreux, vaste espace triangulaire de 2,6 hectares, vient de connaître un sort peu banal en disparaissant littéralementdu paysage urbain de la rive gauche. Sacrifiée sur l'autel de la densification urbaine […], la place s'est muée, depuis 2015, en un nouveau quartier d'habitation…

• C'est en vain que l'on chercherait les traces de l'existence de cette place avant le XIXe siècle …

M.C.

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Le «Jeu de paulme» ou «trippot»

du château de Gaillon, et quelques «trippots» de Rouen

 

maquettele «Jeu de paulme» de Gaillon :

 

• Il existait une salle pour un Jeu de Paulme au château de Gaillon, bien définie par les comptes de construction du château et un dessin de Du Cerceau. Elle était située dans le fossé, au pied de la galerie nord, entre le pont au pied de la tour de la Syrène et le portail du Jardin […]. On peut s'étonner de trouver ce jeu dans une demeure ecclésiastique, mais c'était là surtout un château seigneurial…

• La constructionde cette salle est bien documentée. Le livre de A. Déville, publié en 1850… Cette salle est appelée «Trippot» dans les originaux des comptes …

D.D.

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Inhumer en centre-ville au XVIIe siècle

renelle• Si la paroisse Saint-Maclou qui disposait de deux cimetières, pouvait faire face aux recrudescences d'inhumations lors des épidémies, ce n'était pas le cas des paroisses du centre de Rouen, beaucoup plus mal loties. A Saint-Jean-sur-Renelle, les trésoriers devaient pallier empiriquement au manque de place.

• Saint-Jean était une des paroisses les plus considérables et riches de Rouen. A la fin du XVIIe siècle, elle compte […] probablement 2.000 habitants…

L.-R.D.

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Eustache-Hyacinthe Langlois

dessinateur du patrimoine

stJeanR• En cette année 2018 où l'on célébrera le Bicentenaire de la Commission départementale des antiquités, ne convenait-il pas d'évoquer celui qui fut un des membres les plus actifs de son temps ? De même qu'il y a trois ans nous avions ravivé le souvenir de Juliette Billard, témoin attachant d'iun Rouen détruit par les bombardements, c'est une redécouverte du même genre que nous proposons en la personne d'Eustache-Hyacinthe Langlois (1777-1837), dessinateur d'un patrmoine lui aussi largement disparu ou modifié …

J.-P.C, H.D

 

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Le chat de l'Aître Saint-Maclou

à quel chat se fier ?

chat• En octobre 2019, à la suite d'un article de Patricia Buffet (Paris-Normandie 20/06/2019) qui reprenait notre hypthèse de 2016, nous avons reçu de Pierre Dauphin une lettre qui change la donne. Pierre Dauphin était étudiant de première année à l'école des Beaux-Arts en 1946-47, à une époque où l'aménagement de l'Aître pour cette nouvelle affectation n'était pas encore achevé. Voilà ce qu'il écrit dans ses mémoires…

C.D.

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Les monuments du souvenir, architecture

et décor, en hommage aux morts normands de la Grande Guerre

barentin• Avec cette année 2018 va s'achever la commémoration, ouverte il y a quatre ans, de ce qui reste pour nous la Grande Guerre, celle où la France sut tenir et, finalement, remporter la victoire. Mais à quel prix ! Les monuments qui, dans chaque commune, égrènent les noms des morts pour la France témoignent de l'ampleur d'une hécatombe dont la pyramide des âges de tout le pays répercutera longtemps l'écho à travers le phénomène des "classes creuses", celles auxquelles manquera, vingt à trente ans plus tard, la descendance d'une génération sacrifiée …

N.-J. C.

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Les anciens greniers à sel de Rouen

rue Saint-Éloi

mgme• Un mur constitué de grosses pierres de taille est bien visible depuis la rue du Général-Giraud, à l’angle de la rue Saint-Eloi. De tout temps, il a été donné comme un vestige des anciens greniers à sel de la Ville de Rouen. Recherches faites, ceci s’avère exact et, dès 1913, les Amis des Monuments Rouennais ont publié dans leur bulletin annuel une étude très complète sur cette construction emblématique de la Ville …

• De plus, cet endroit est aussi connu pour avoir été l’emplacement de la salle de Jeu de Paume dite le «Tripot des Bracques» où Molière vint «roder» ses pièces de théâtre avant de monter à Paris. Une plaque, fixée sur une façade de la rue Saint-Eloi, rappelle ce fait à l’honneur de la Ville …

D.D.

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l'Aître Saint-Maclou, cimetière paroissial

et lieu de mémoire, XIIIe et XVIIIe siècles

inhumation• Extérieure à l’enceinte gallo-romaine, la paroisse Saint-Maclou s’étend sur des terrains naguère marécageux – ce qu’atteste encore le nom de la rue Malpalu – assainis une fois réalisée la canalisation du Robec à la fin du Xe siècle. Une dizaine de moulins à céréales, une activité textile stimulée par l’accès facile à la rivière pour les foulons ou teinturiers, la proximité de la Seine et du port, suffisent à expliquer l’extension de Rouen dans ce secteur oriental de la vieille cité …

L.R.D.

 

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danse des morts de Rouen

unique en Europe ?

frontispice• La danse des morts et le décor macabre font de l’Aître Saint-Maclou de Rouen, depuis bien des décennies, un monument d’intérêt national suivi avec grande attention par les instances supérieures des Monuments historiques. …

• La question que nous nous poserons dans cette communication sera de savoir en quoi la danse macabre de Rouen est unique en Europe …

G.P.

 

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Juliette Billard : représenter le Rouen disparu

juliette• Juliette Billard est décédée il y a quarante ans. Autant dire que bien peu d’entre nous l’ont connue autrement que par les dessins qu’elle nous a laissés, dans des recueils de planches commentées, eux-mêmes devenus des pièces rares vu leur tirage limité. Largement oubliée aujourd’hui, elle fut pourtant une personnalité rouennaise dont on parlait dans les journaux. Une page entière de Paris-Normandie lui est ainsi consacrée le 3 janvier 1974, honorant celle qui «a toute sa vie illustré et magnifié Rouen, ses fastes et ses arts». Elle approchait alors de ses quatre-vingt cinq ans …

J-P.C.

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Rouen, une ville "médiévale" ?
ursulines• “C’est une erreur de ne voir en Rouen qu’une ville gothique et une ville de la Renaissance. La continuité dans la beauté et dans l’invention est au contraire le plus beau trait de Rouen.
André Maurois

• Après les ouvrages qu’ils avaient consacrés à des aspects mal connus du patrimoine bâti de Rouen, les A.M.R. se devaient de faire mieux comprendre et connaître celui qui, à côté des immenses monuments de pierre justement célèbres, contribue pour sa part à la réputation de la ville. Ce fut le propos de « Rouen, Les maisons à pans de bois » que de présenter l’histoire et la réalité actuelle de ces constructions, dont le matériau modeste a longtemps masqué l’intérêt, voire la beauté et qui ont dû faire l’objet de « Combats et débats » répétés avant d’être enfin reconnues et valorisées …

M.B.

 

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Que nous apprennent les blasons,

sur les monuments de Rouen ?

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• L’idée de cette étude est venue d’une question du Service de l’Inventaire et du Patrimoine de Haute-Normandie, nous demandant d’aider à identifier les blasons de la chapelle du lycée Corneille. Nous avons étendu l’enquête à d’autres édifices rouennais.

• Comme souvent dans les églises, il y a effectivement dans cette ancienne chapelle des Jésuites de nombreux blasons ; ceux-ci sont de deux ordres, correspondant soit à des personnages qui ont réussi à se faire inhumer dans la chapelle, moyennant la fondation d’obits, soit à de simples donateurs.

• Ces blasons attirent régulièrement la curiosité. Si François Farin ne les a pas décrits, ils ont fait l’objet d’études de la Commission des Antiquités de la Seine-Inférieure, et, plus récemment, sont évoqués dans le BAMR 2011

J.P.H.

 

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les Religieux du Tiers-Ordre de saint François

de Croisset à Rouen

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• C’est la fracture de la chrétienté dans l’Occident du XVIe siècle qui va mettre en lumière l’action de religieux plutôt discrets jusque là : les Pénitents du Tiers-Ordre régulier de saint François, appelés communément pénitents.

• Ils sont issus de la foisonnante famille des disciples de saint François d’Assise, les Frères mineurs, parmi lesquels on distingue des religieux qui suivent la règle du fondateur avec une plus ou moins grande rigueur. Divisés en plusieurs familles, ils forment le premier ordre. Les femmes, les Pauvres dames, disciples de sainte Claire, constituent le second ordre. Mais l’idéal franciscain, c’est une nouveauté, est également partagé par des laïcs. Parmi eux, certains souhaitent bientôt former des communautés. Le pape franciscain Nicolas IV, désireux de leur fournir un encadrement stable, promulgue à leur intention, en 1289, une Règle des Pénitents qu’il n’hésite pas à attribuer à François lui-même …

L.R.D.

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